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Elle s’est notamment alliée avec les autres municipalités de la MRC Coaticook pour l’embauche d’une ressource en habitation. Elle est aussi à revoir ses règlements et façons de faire pour densifier son territoire. « À la Ville, nous n’avons plus de terrains pour construire. Il faut donc penser autrement et optimiser l’espace dans nos zones résidentielles. Par exemple, plusieurs unifamiliales occupent des terrains immenses, c’était ainsi à l’époque. Ces terrains pourraient facilement accueillir des triplex ou des quadruplex si on favorise cette conversion, avec des modifications au règlement d’urbanisation et certains incitatifs », explique le maire de Coaticook, Simon Madore.

La Ville planche également sur un programme s’adressant aux propriétaires actuels souhaitant améliorer leur édifice à logements ou convertir leur résidence en appartements.

De l’aide financière est aussi offerte pour de nouveaux édifices multilogements. « Un constructeur est plus intéressé à bâtir des multilogements à Sherbrooke où le coût des loyers est supérieur. Pour combler ce manque à gagner, nous offrons donc une subvention de 1000 $ par porte. Nous espérons que des mesures incitatives nous aideront à combler le grand manque de logements à Coaticook », ajoute M. Madore.

Plus de 350 nouvelles portes à Coaticook d’ici 2023

La Ville a aussi approché deux promoteurs immobiliers privés qui ont rapidement réagi avec des projets domiciliaires pensés selon cette vision de densification. Dans ces nouveaux quartiers, on retrouvera à la fois des unifamiliales, des maisons en rangée et des multilogements pour une offre diversifiée, qui répond à tous les besoins et tous les budgets.

Actuellement, les travaux vont bon train dans la phase 2 du développement McAuley, qui permettra l’ajout de 70 portes, ainsi que dans le développement des Érables, qui comptera au final 260 portes. « Il y a un besoin criant de main-d’œuvre chez nous; économiquement parlant, ça va super bien à Coaticook! Les gens sont donc vraiment intéressés à venir s’établir chez nous, mais comme je le disais, nous n’avons plus de terrains à la Ville. On était vraiment content des projets que nous ont présentés ces deux promoteurs. Cela viendra combler différents besoins en habitation », précise M. Madore.

Par ailleurs, le montage financier est complété pour Les Habitations des Vallées. Les travaux pour la construction de 21 loyers à prix modique devraient s’ébranler cet automne ou au plus tard le printemps prochain. Une fois terminé, on y retrouvera 10 logements de 4 ½ pièces et 11 de 5 ½ pièces.

Nouveau programme pour le patrimoine bâti à Coaticook

Grâce à une subvention du ministère de la Culture et des Communications, un nouveau programme est offert pour favoriser la restauration du patrimoine bâti privé. Les propriétaires pouvant profiter de cette aide financière ont déjà été identifiés et ont reçu une lettre de la Ville à cet effet. On parle ici de travaux de restauration impliquant la remise en état ou le remplacement des composantes d’origine ou anciennes ainsi que de travaux de préservation. « On a de belles maisons anciennes à Coaticook, elles font partie de notre histoire et donnent beaucoup de cachet à la ville. Par contre, on le sait, rénover ou réparer de telles résidences en conservant les éléments d’époque, par exemple une corniche en bois travaillé au lieu d’une corniche en aluminium, coûte plus cher. C’est ce montant supplémentaire que vient rembourser la subvention. Selon le type de travaux, ça peut aller jusqu’à 75 % des coûts », explique Simon Madore.

Les propriétaires identifiés par la Ville pourront donc communiquer avec l’administration municipale s’ils souhaitent entreprendre des travaux de restauration ou de préservation : pensons au parement des murs extérieurs, à la toiture, aux ornements, aux éléments en saillie, structuraux ou intérieurs, etc. Ils seront alors accompagnés tout au long du processus afin de profiter de ce programme gouvernemental.

Consultez le cahier spécial dans son intégralité en cliquant ici.

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Pour supporter les municipalités du territoire dans leur quête de solutions tout en ayant une vision régionale de la situation, la MRC a embauché en septembre dernier une chargée de projet en habitation, Mme Valérie Bibeau. Si cette ressource est courante dans les grandes villes, c’est la première fois qu’une MRC en milieu rural crée ce genre de poste.

« Il y a des enjeux particuliers au milieu rural, mais comme les petites municipalités n’ont pas de ressource en habitation, elles connaissent peu les programmes ou subventions qui existent. Entre autres, il est possible de construire dans les zones agricoles, par exemple pour un agriculteur souhaitant offrir un toit à ses travailleurs temporaires, mais il faut bien connaître les règlements, ce qui peut être fait et comment. Mon rôle sera alors d’éduquer, d’informer et de fournir des outils », explique Mme Bibeau qui est au service tant des municipalités que des citoyens, organismes et promoteurs immobiliers pour tout ce qui touche l’habitation. « Je pourrai d’ailleurs servir de lien de communication entre ces divers intervenants et favoriser du maillage. Ce que recherche un groupe de citoyens pourrait être comblé par les projets d’un organisme ou d’un promoteur, notamment. Mais ce ne sera pas moi qui vais initier ou porter des projets, mon rôle en sera plutôt un de facilitatrice. »

Des terres agricoles à protéger

Désormais, pour les demandes de dézonage, la Loi de la protection du territoire agricole considère le territoire entier d’une MRC. Donc, avant qu’une municipalité puisse envisager d’agrandir son périmètre urbain, il ne doit plus y avoir de terrains disponibles dans toute la MRC. Simon Madore, le président du comité occupation du territoire, rappelle ainsi l’importance de planifier efficacement le développement des terrains disponibles dans les noyaux villageois, afin qu’il réponde à l’ensemble des besoins des citoyens, entrepreneurs, travailleurs et agriculteurs de la MRC. « Ce changement à la loi amène les municipalités d’une même MRC à travailler ensemble pour une vision régionale du développement domiciliaire », rappelle monsieur Madore.

Cela amène également les municipalités n’ayant plus de zone blanche à exploiter à être plus créatives si elles veulent répondre aux besoins de leurs citoyens.

« Les citoyens sont très conscients de l’importance de préserver nos terres agricoles; d’ailleurs, s’ils se sont établis en zone rurale, c’est qu’ils apprécient les grands espaces et la nature. Mais en même temps, il faut leur permettre de rester dans leur patelin. Pensons aux aînés qui veulent passer à une autre étape, mais qui ne trouvent pas de logements correspondant à leurs besoins, ou encore aux couples qui se séparent et dont l’un d’eux doit quitter la municipalité parce qu’il ne peut s’y loger selon son budget. Il est nécessaire de repenser les espaces urbains, d’optimiser les terrains existants et de prévoir, dans les futurs développements, une plus grande densité d’habitations et davantage de diversité : unifamiliales, maisons en rangée, immeubles à logements, etc. »

Lors de ses rencontres avec les administrations municipales, Valérie Bibeau analyse la situation et regarde si des modifications à certains règlements de zonage pourraient offrir plus de flexibilité pour permettre des multilogements, des habitations multigénérationnelles, une 2^e unité d’habitation sur un même terrain, etc. « À partir de ce que souhaite la municipalité, Valérie pourra l’aiguiller vers les bonnes ressources, voir les subventions qui pourraient s’appliquer, les modifications aux règlements qui pourraient faciliter les projets, etc. », mentionne M. Madore.

Même approche auprès des groupes de citoyens qui rêvent d’un projet d’habitation. « Souvent, les gens connaissent bien leurs besoins, mais ne savent pas quels types d’habitation pourraient y répondre ou à quelle porte frapper. Comment concrétiser ce rêve? On prend alors un morceau à la fois et on regarde ensemble dans le panier de subventions ce qu’on peut utiliser, ce qui est permis légalement, à qui il faut adresser la demande. »

Favoriser l’accès à la propriété dans la MRC Coaticook

L’une des tâches de Valérie Bibeau sera de dresser un portrait socioéconomique de la région afin de mieux connaître le budget alloué par les résidents de la MRC pour l’habitation, ce qui aura évidemment un impact sur l’offre qui sera déployée.

« Il y a une surchauffe actuellement dans le marché immobilier : il faut donc revoir notre façon d’aspirer à la propriété. Pour bien des gens, c’est acheter une maison unifamiliale, mais je dirais que cela représente plus la dernière marche à atteindre. Il y a d’autres étapes avant qui nous aideront à bâtir peu à peu le capital nécessaire pour y arriver. La conversion d’un triplex ou quadruplex en condos peut justement permettre à plus de gens de devenir propriétaires. »

Certaines solutions qui fonctionnent bien dans les grandes villes doivent aussi être adaptées à la réalité rurale. « Par exemple, les grandes coopératives d’habitation ont beaucoup de succès à Sherbrooke, mais une petite municipalité n’a pas besoin ni envie d’avoir un bloc de 50 logements. Il faut donc voir comment on peut créer un modèle semblable et rentable, mais à plus petite échelle. »

Consultez le cahier spécial dans son intégralité en cliquant ici.

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Des activités à l’année

La Maison de la famille propose plusieurs activités accessibles, éducatives et divertissantes. Parmi celles-ci, elle offre de l’accompagnement pour les futurs parents, des rencontres pour discuter entre parents et des activités parent-enfant. « Par exemple, nous tenons un atelier d’éveil artistique pour les tout-petits de 3 à 5 ans et deux ateliers axés sur le développement et la stimulation des 0 à 36 mois », mentionne la directrice générale Corinne Hamelin. Les enfants d’âge scolaire ont aussi droit à des activités ponctuelles pendant la semaine de relâche et certains congés scolaires. « On organise des activités pour les fêtes telles que l’Halloween et Noël. Nous soulignons aussi la rentrée scolaire grâce à notre évènement Coup de pouce pour la rentrée où nous remettons des articles gratuits. Nous participons aussi à la fête de la rentrée de la MRC et cette année, nous avions une nouveauté qui fut vraiment appréciée soit une balade en petit train. Nous planifions également des sorties pour permettre aux nouvelles familles de rencontrer des personnes qui vivent la même réalité », ajoute celle à la tête de l’organisme depuis cinq ans.

Des services qui répondent à des besoins

L’organisme offre également des services pour écouter, soutenir ou aider les parents. Quatre demi-journées par semaine, les membres peuvent se prévaloir du service de garde destiné aux enfants de 0 à 5 ans, et ce, à peu de frais. Cette halte-garderie permet aux parents de prendre quelques heures de répit tout en offrant un milieu de socialisation et d’épanouissement aux tout-petits. « Ce service est également offert gratuitement sur réservation à tous les participants des ateliers », mentionne Corinne Hamelin. Deux travailleuses de milieu sont aussi disponibles pour écouter les parents qui ont parfois besoin d’une oreille attentive. Elles peuvent entre autres les aider à identifier leurs besoins et les diriger vers les bonnes ressources si nécessaire.

La Maison de la famille, c’est aussi un milieu de vie où les familles sont les bienvenues du lundi au vendredi au 79, rue Court pour venir jaser, sortir de la maison et rencontrer d’autres parents en prenant un café. « Nous accueillons vraiment toutes les familles qui habitent la région sans exception. »

Des projets mobilisateurs

Pour les personnes qui désirent s’impliquer, le comité Voix des parents offre la possibilité d’apporter ses idées et de participer activement à divers projets tels que la relance du blogue de la Voix des parents.

« Nous venons de mettre en place un tout nouveau projet de conciliation famille-travail. Sur notre site, les employeurs trouveront des outils à faible coût pour s’ajuster aux réalités des employés. Il s’agit de mesures pour favoriser la conciliation famille-travail. Une meilleure conciliation apporte une plus grande satisfaction des employés donc une meilleure rétention. Un facteur très important en temps de pénurie de main-d’œuvre », précise Mme Hamelin.

Quant au projet Parent’Bition, il soutient les parents qui veulent effectuer un retour aux études en collaboration avec le Centre d’éducation aux adultes. « Il s’agit d’un bon tremplin pour terminer la scolarisation et réintégrer le marché du travail. Et nous offrons la halte-garderie pendant les cours. »

Un nouveau lieu de rassemblement

Avec l’achat de l’Église Saint-Jean-l’Évangéliste, le projet Familles enracinées a pris son envol en ce qui a attrait à la création d’un milieu de vie inclusif. En plus d’y aménager ses locaux, la Maison de la famille louera des espaces à d’autres organismes pour générer des revenus et offrir des services de qualité à la communauté. « Étant parmi les 12 projets retenus du volet Patrimoine religieux pour le climat de l’organisme Écobâtiment, nous avons la chance de profiter de services-conseils en efficacité écoénergétique afin de planifier la conversion du lieu de culte », précise la dynamique directrice.

En attendant la réalisation des travaux, l’église est utilisée pour animer diverses activités. « Nous y avons également installé notre friperie ouverte le troisième mercredi de chaque mois en plus d’accueillir des activités annuelles tel un parcours pour l’Halloween. »

Ces projets en cours et l’implication des membres démontrent bien que l’équipe de la Maison de la famille est vraiment à l’écoute des besoins et des intérêts des familles de la région. Au fil des ans, elle a su faire une réelle différence au sein de la communauté et est devenue une ressource indispensable pour plusieurs.

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« Mon rôle sera d’accompagner les producteurs dans leurs quêtes de solutions, des solutions viables, réalisables, avec des impacts positifs à la fois pour eux, les citoyens et l’environnement. En fait, on gagne tous à réduire le gaspillage de l’eau par exemple », explique la chargée de projet Gabrielle Letarte Dupré.

Mme Letarte Dupré souhaite travailler en étroite collaboration avec les producteurs. « Mon travail sera très terrain, et les producteurs agricoles et forestiers seront inclus dans le processus. Ils n’ont peut-être pas le contrôle sur les changements climatiques, mais ils peuvent modifier leurs pratiques pour continuer à vivre du fruit de leur terre, d’où le concept de résilience. »

La chargée de projet en environnement est à développer des partenariats avec les intervenants du milieu comme l’UPA, le MAPAQ et le CIARC (Centre d’innovation agricole de la région de Coaticook), des organismes qui connaissent bien la réalité des producteurs de chez nous. « On veut pouvoir proposer une offre complète d’aide et de soutien pour nos producteurs. Il existe déjà certains programmes, tel le programme Prime-Vert du MAPAQ, mais d’autres mesures pourraient être combinées ou créées pour mieux répondre aux réalités spécifiques de notre région », note Henri Pariseau élu responsable des dossiers forêt à la MRC de Coaticook et maire de Saint-Venant-de-Paquette.

Pour les producteurs forestiers intéressés, la MRC pourra favoriser leur inclusion dans le Projet forestier PIVOT, un projet carbone forestier québécois développé sous le standard VCS par ECOTIERRA, une entreprise sociale sherbrookoise. « C’est une belle solution pour faciliter leur résilience sur le plan économique. On pourra aussi les outiller ou les amener vers d’autres ressources du genre au besoin. »

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« Les avantages sont autant économiques qu’environnementaux : on parle ici d’achat local, de circuits courts des aliments. Les consommateurs sont prêts à payer un peu plus pour des produits transformés localement », remarque Nathalie Labrie, directrice du développement économique à la MRC.

L’investissement demeure important, mais c’est surtout les locaux disponibles qui représentent le plus grand frein. Les normes de la MAPAQ sont en effet très élevées. « Il est plus facile de bâtir à neuf pour respecter ces exigences que de tenter de convertir des bâtiments existants. Nous sommes toutefois confrontés au manque de terrains : 88 % du territoire est zoné agricole, et la CPTAQ évalue désormais les demandes en fonction du territoire de la MRC et non seulement d’une municipalité », mentionne Simon Madore, président du développement économique de la MRC de Coaticook et maire de la ville de Coaticook.

Madame Labrie rajoute que « d’un autre côté, il faut préserver ces terres, nos producteurs en ont besoin pour poursuivre leur essor. À l’image de ce que nous sommes en train de faire pour l’habitation, on travaille actuellement à optimiser nos zones blanches pour l’utilisation industrielle. Il y a des entreprises qui ont des terrains vacants; peut-être qu’à l’époque où elles ont acheté, le lot était fait ainsi ou c’était en prévision d’un agrandissement qui ne sera finalement pas nécessaire. On approchera ces entreprises pour en savoir plus ».

Ces efforts s’inscriront dans une stratégie globale. « On veut d’abord dresser le portrait des terrains disponibles, puis bien connaître les différents besoins afin de pouvoir planifier la production industrielle sur notre territoire de façon durable. »

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« Lors de rencontres avec les citoyens, un mot revenait sans cesse : environnement. La protection de notre planète est donc une préoccupation très forte ici, et c’est pour cela qu’on a créé un comité environnement, composé de deux élus et quatre citoyens, et procédé à l’embauche d’une ressource à temps partiel, la chargée de projet Gabrielle Letarte Dupré, qui travaillera sur des projets spéciaux. Notre but est que chacune de nos décisions comme conseil municipal ait une empreinte environnementale. Ça peut être de tout faire pour préserver au maximum la faune et la flore dans nos parcs municipaux », cite en exemple Simon Madore, maire de Coaticook.

Une grande rencontre citoyenne à Coaticook avec le comité environnement

Très dynamique et proactif, le comité environnement est à l’affût de ce qui se fait un peu partout au Québec et ailleurs pour voir comment on pourrait améliorer les pratiques municipales.

Pour prioriser ses actions, il est à préparer, avec le soutien du Conseil régional de l’environnement de l’Estrie, une grande rencontre citoyenne qui se tiendra le mardi 17 mai à 18h30 au pavillon des arts et culture, salle Yvette-Rousseau.

« Ce sera l’occasion pour nous de bien saisir les préoccupations des gens et ainsi agir dans le sens de ce qu’ils souhaitent. Cela nous permettra aussi de connaître leurs idées, leurs solutions : on veut stimuler la participation citoyenne, et pour cela, il faut mettre de l’avant ou encourager des projets qui ont du sens pour eux », explique Gabrielle Letarte Dupré qui a entre autres pour tâches de coordonner le comité et de lui offrir du soutien administratif.

Ce grand rendez-vous sera aussi l’occasion de mieux faire connaître le comité, son rôle, ses membres, etc. Notez que les places étant limitées, vous devez vous inscrire. Tous les détails au 819 821-4357 poste 103.

Le retour de la Patrouille bleue au lac Lyster

Mise en place en 2021, la Patrouille bleue est de retour au lac Lyster cet été. Sous la supervision de la chargée de projet Gabrielle Letarte Dupré, la patrouille sillonnera le lac et ses berges en bateau, en kayak et à pied, pour sensibiliser, informer et récolter des données. Sur le plan environnemental, on surveillera évidemment l’évolution du myriophylle à épi, mais aussi de la moule zébrée qui est de plus en plus présente dans nos lacs. « L’un de nos objectifs est que la règlementation sur la vitesse, de juridiction fédérale, soit modifiée afin d’être cohérente avec la réalité terrain. Dans le cas du myriophylle à épi, plus il est secoué, plus il se disperse, donc plus le problème s’aggrave, d’où l’importance de naviguer à très basse vitesse où on le retrouve. Cependant, c’est le contraire qui est permis actuellement! Plus nous récolterons d’informations via la Patrouille bleue, plus nous aurons d’éléments pour faire changer les choses », explique Mme Letarte Dupré.

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Depuis dix ans, la population augmente d’année en année dans ce charmant coin de l’Estrie, « la nouvelle banlieue de Sherbrooke, et un secret de moins en moins bien gardé! » de lancer Mme Dupuis. « Le prolongement de l’autoroute 410 a vraiment donné un coup de pouce à notre développement. Waterville jouit d’un emplacement stratégique, à 10 minutes de Sherbrooke, de Magog et de Coaticook. » En 2021, 22 nouvelles habitations se sont d’ailleurs ajoutées.

Et les emplois y sont nombreux. « Il y a presque autant de gens qui viennent travailler chez nous que de résidents. C’est sûr qu’on vise à convaincre ces travailleurs de s’établir chez nous, et on a encore plus d’arguments avec ce nouveau développement domiciliaire qui propose à la fois des maisons unifamiliales, des jumelés, des duplex et des immeubles de six logements, bref une belle offre pour se loger. »

Plus de place pour les organismes de Waterville

Depuis dix ans, la population augmente d’une quarantaine de personnes par année. Waterville compte actuellement 2330 résidents. « Cette croissance représente pour nous une opportunité de mettre à niveau ou de bonifier notre offre de services. Nos organismes sont à l’étroit dans leurs locaux actuels, d’où le projet de transformer l’église La Bienheureuse Vierge Marie en espace multifonctionnel, qui abritera notamment la bibliothèque et le centre communautaire, en plus d’offrir des locaux. »

On est actuellement à élaborer les plans préliminaires à partir des caractéristiques du bâtiment, ses besoins énergétiques, etc. « Il y a plusieurs éléments à considérer. On veut le plus possible répondre aux besoins des organismes, mais rénover un tel édifice et le rendre aux normes actuelles demeure un investissement de taille. Il faut faire des choix qui auront du sens pour tout le monde. » Les prochaines étapes seront d’attacher le financement et de présenter le projet à la population. « C’est l’occasion de mettre en valeur ce magnifique bâtiment patrimonial tout en dotant Waterville d’espaces publics qui répondent aux normes et besoins actuels et futurs. Ce bâtiment est là depuis 100 ans, et avec ce projet, nous préparons son utilisation pour les 100 prochaines années. »

Un plus pour les familles

Un autre gros projet est celui de l’implantation d’un centre de la petite enfance (CPE); des rénovations seront réalisées dans le bâtiment présentement utilisé par le Centre communautaire pour l’accueillir. « Nous avons plusieurs services de garde en milieu familial, mais il s’agira de notre premier CPE, et il est très attendu. Avec plusieurs petites familles s’installant chez nous, cela nous permettra de mieux répondre à la forte demande pour les services de garde. »

Et une fois l’église convertie, les services comme ceux de la bibliothèque répondront aussi mieux aux besoins des petits comme des grands. « Partout où les bibliothèques ont été restaurées, la fréquentation a explosé », note d’ailleurs Mme Dupuis.

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"},"type":"paragraph"}],"creationDate":"2022-04-20T15:24:20.969Z","externalIds":{},"firstPublicationDate":"2022-04-20T17:58:49.374Z","free":false,"id":"eda603bfa03f99acd9d7210854608df0","lead":{"fr":"Les coups de marteau résonnent en chœur ces temps-ci au Développement Champêtre, à l’entrée de Waterville. « Une vingtaine de terrains sont déjà vendus et d’autres transactions sont en attente de se conclure devant le notaire. Certains chantiers ont même commencé dès cet hiver », note la mairesse de Waterville, Nathalie Dupuis."},"locales":["fr"],"metadata":{},"modificationDate":"2022-04-20T20:09:17.157Z","publications":[{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"latribune","sectionKey":"la-vitrine/region-coaticook-2022"},{"canonical":true,"organizationKey":"latribune","sectionKey":"la-vitrine"}],"slug":{"fr":"2022/04/20/waterville-poursuit-son-essor-eda603bfa03f99acd9d7210854608df0"},"tags":[],"templateName":"sponsored3","title":{"fr":"Waterville poursuit son essor"},"type":"article","url":"global/contents/eda603bfa03f99acd9d7210854608df0.json","visual":{"caption":{},"contentType":"image","credits":{"fr":"La Tribune, Frédéric Côté"},"position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F32e66459-b530-422d-86ba-f22bdb99605e.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"}},{"accessibility":"FREE","authors":[{"description":{},"name":"La Vitrine","source":"Contenu commandité"}],"channel":{"fr":"RÉGION COATICOOK 2022"},"chapters":[{"position":0,"text":{"fr":"

C’est en 1964 que le sculpteur Stanley Rozynski et la céramiste Wanda Rozynska achètent l’ancienne école primaire située au 2133, chemin Way’s Mills à Barnston-Ouest pour la transformer en atelier-école de poterie. Puis, en 2012, le sculpteur crée l’organisme à but non lucratif nommé Centre d’art Rozynski. Aujourd’hui, ce lieu de soutien à la production en céramique organise des formations, des résidences pour artistes, des ateliers et même une expo-vente annuelle.

Céramystic, un rendez-vous à ne pas manquer

Céramystic est une expo-vente de céramique contemporaine unique dans la région qui attire chaque année environ 4 000 personnes. Du 1^er au 10 juillet 2022, plus d’une trentaine de céramistes exposeront leurs créations à l’extérieur sur le site enchanteur du centre d’art aux abords de la rivière Niger, et ce, beau temps, mauvais temps. « À ces professionnels s’ajoutera une dizaine de céramistes émergents issus des établissements d’enseignement supérieur québécois », précise la directrice générale et artistique Aude Gendreau-Turmel. En plus de rencontrer les exposants, le public pourra assister à des démonstrations de tour à potier, participer à des ateliers et voir les céramistes en résidence à l’œuvre. « Ces derniers se font un plaisir de répondre aux questions des visiteurs, de les informer sur leur démarche artistique et parler de leur expérience », mentionne la passionnée directrice. Pour ajouter un côté festif à cet évènement, les visiteurs pourront entre autres acheter sur place des pizzas cuites dans un four à pain en céramique et accompagner leur repas d’une des bières à l’effigie Rozynski spécialement brassées pour l’occasion par la Brasserie 11 comtés.

Des ateliers pour tous

Si la création au travers de ce médium polyvalent vous attire, tout l’été, le Centre d’art Rozynski propose des ateliers de tour à potier et de façonnage. « Ces cours intensifs permettent de s’initier à cet art ou encore de se perfectionner. Pendant cinq jours, les participants baignent dans une atmosphère de création et développent donc plus rapidement leurs habiletés et les techniques de base. » Mentionnons que le Centre possède sept chambres pour ceux qui désirent demeurer sur place pendant la formation et les inscriptions se font en ligne sur le site du Centre d’art.

Une résidence pour artistes

Le reste de l’année, le CAR accueille des artistes en résidence afin qu’ils puissent se consacrer entièrement à leur projet de création. « L’une de nos forces est notre lieu au cœur d’un hameau patrimonial en pleine nature propice à la contemplation et l’inspiration pour s’ouvrir sur une démarche artistique. D’ailleurs, nous tenons à remercier la MRC de Coaticook, la Ville de Coaticook et le Conseil des arts et lettres du Québec pour leur soutien. C’est grâce à eux et aux contributions de nos donateurs que nous pouvons offrir ces séjours aux artistes », précise celle qui occupe la direction générale depuis la création du poste en 2016.

Un imminent projet

Afin de devenir encore plus attrayant pour les artistes, le Centre d’art veut mettre en branle sous peu un projet de rénovation. En fait, l’équipe désire rendre fonctionnel le four au gaz construit dans les années 60 qui doit être modifié pour répondre aux normes en vigueur. « Les seules à posséder cet équipement spécialisé sont les écoles ayant une spécialité en céramique. Il s’agit donc d’un important atout puisque ce type de cuisson donne des résultats différents de la cuisson au four électrique habituellement utilisée. »

Au fil des ans, le Centre d’art Rozynski a joué un rôle important dans le développement et la reconnaissance de la céramique en tant qu’art. Il a acquis une solide renommée au pays comme à l’international grâce à la qualité de son enseignement et ses installations dans un milieu naturel favorable à la création. « Nous sommes de plus en plus reconnus en tant que pôle artistique en milieu rural et nous en sommes bien fiers », conclut Aude Gendreau-Turmel.

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"},"type":"paragraph"}],"creationDate":"2022-04-20T14:52:27.774Z","externalIds":{},"firstPublicationDate":"2022-04-20T17:58:49.377Z","free":false,"id":"43c46ee9f3bba7fb4c3ec589146f2955","lead":{"fr":"En pleine nature, dans le paisible village de Barnston-Ouest, se trouve un joyau culturel à découvrir. Le Centre d’art Rozynski, dédié à la céramique, ouvre ses portes aux artistes et au grand public qui souhaitent explorer cet art millénaire."},"locales":["fr"],"metadata":{},"modificationDate":"2022-04-20T20:09:32.357Z","publications":[{"canonical":true,"organizationKey":"latribune","sectionKey":"la-vitrine"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"latribune","sectionKey":"la-vitrine/region-coaticook-2022"}],"slug":{"fr":"2022/04/20/centre-dart-rozynski--un-lieu-de-creation-a-decouvrir-43c46ee9f3bba7fb4c3ec589146f2955"},"tags":[],"templateName":"sponsored3","title":{"fr":"Centre d'art Rozynski : un lieu de création à découvrir"},"type":"article","url":"global/contents/43c46ee9f3bba7fb4c3ec589146f2955.json","visual":{"caption":{},"contentType":"image","credits":{"fr":"Photo Noemie Sylvestre"},"position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F362b20c5-7090-4fce-b7f2-3cf2469cd037.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"}},{"accessibility":"FREE","authors":[{"description":{},"name":"La Vitrine","source":"Contenu commandité"}],"channel":{"fr":"RÉGION DE COATICOOK 2022"},"chapters":[{"position":0,"text":{"fr":"

En 1997, la Ville de Coaticook mettait en place le programme Artiste en résidence. « C’était audacieux : on retrouvait ce genre de programme habituellement dans les grandes villes, et en plus ici, grâce au soutien de la Ville, c’était entièrement gratuit pour les artistes, ils n’avaient que leur nourriture à payer », explique Madeleine Drolet qui était à l’époque conseillère municipale et présidente de la Commission municipale de la culture.

« De savoir que le programme est toujours là et en force après 25 ans, de voir tous les artistes qui ont séjourné ici, la qualité de leur travail et ce qu’ils nous ont légué, c’est un beau bonheur », ajoute Mme Drolet.

L’artiste Normand Gladu : porteur du projet

Normand Gladu fut le premier artiste à participer au programme Artiste en résidence, et aussi la bougie d’allumage du projet. « M. Gladu, qui vivait alors à Coaticook, avait eu l’occasion de participer à des programmes similaires aux États-Unis et avait trouvé l’expérience très formatrice. Il a donc approché la Commission municipale de la culture pour qu’un projet semblable puisse naître à Coaticook. On a trouvé l’idée excellente et on a défendu le projet auprès du conseil municipal, qui a finalement donné son aval. Il allait sans dire que M. Gladu, qui jouissait d’une excellente réputation comme artiste, était la personne de choix pour être notre premier artiste en résidence. » Depuis cette première édition en 1997, le local a toujours été occupé, et la Ville reçoit des candidatures d’artistes de partout au Québec, même d’ autres provinces et d’autres pays.

Le site idéal

Le projet accepté, il fallait trouver où loger les artistes, et quel meilleur endroit que le 3^e étage de l’édifice patrimonial ayant abrité l’ancienne poste : avec sa vue panoramique sur la ville de Coaticook, sa belle luminosité, son atmosphère calme favorisant la création, sa dimension suffisamment grande pour accueillir des gens souhaitant voir l’artiste à l’œuvre, le site était parfait. Et il était déjà aménagé en logement. Peu à peu, tout l’immeuble prendra d’ailleurs une vocation culturelle, avec la bibliothèque au premier étage, la Société d’histoire au deuxième étage et le groupe Coatic’Art qui occupe aussi un local au troisième étage.

Tout l’espace pour créer

Le premier objectif du programme est d’offrir aux artistes en art visuel un endroit où ils peuvent se consacrer totalement à leur art, sans distraction et loin de la routine quotidienne. C’est un environnement qui est particulièrement propice aux expérimentations : derrière le résultat final, il y a en effet tout un travail de recherche, d’études et d’essais-erreurs.

Un autre objectif est important concerne les retombées pour la communauté. En plus de léguer une œuvre qui vient enrichir la collection d’arts de la Ville de Coaticook, l’artiste en résidence participe à des activités de médiation culturelle avec la population : visites au studio, rencontres, cours, ateliers, expositions, etc. C’est l’occasion de voir comment un artiste travaille, comment il s’inspire. On peut lui poser des questions, apprendre des techniques. « Cela nous offre un autre point de vue du travail de l’artiste. C’est une initiation au domaine des arts », remarque Mme Drolet.

Au fil des ans, on a ainsi vu des artistes à l’œuvre dans les parcs de la ville, même dans une vitrine de magasin! Madeleine Drolet se souvient tout particulièrement du passage Thali Lévesque : elle a toujours en main l’une des composantes du projet La Rassembleuse, celle qui la représente.

L’importance de la culture pour la Ville de Coaticook

« La culture fait partie de nos vies, malheureusement on n’en parle pas assez souvent, on ne la voit pas assez non plus. Pourtant, quand on réalise ce que la culture apporte aux gens, on en saisit alors toute l’importance. On est fier que des personnes à Coaticook aient créé cet événement il y a 25 ans, et on veut que ça continue longtemps. Le nombre de candidatures qu’on reçoit chaque année démontre à quel point cet événement a sa place. C’est évidemment bon pour les artistes, mais aussi pour nous : les artistes en résidence nous font découvrir des aspects de Coaticook qu’on n’avait pas remarqués, c’est un œil extérieur sur les beautés de notre ville. Ce sont aussi de très belles rencontres avec les citoyens, car tout au long de leur séjour, les artistes vivent parmi nous et s’intègrent dans la population », de mentionner le maire de Coaticook, Simon Madore.

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"},"type":"paragraph"}],"creationDate":"2022-04-20T15:05:37.093Z","externalIds":{},"firstPublicationDate":"2022-04-20T17:58:49.384Z","free":false,"id":"db489459c27aa51bb3ab8472d48f9cad","lead":{"fr":"Au 3e étage de l’édifice ayant abrité l’ancienne poste à Coaticook, les idées fourmillent, la créativité s’exprime, les mains se font précises… Depuis 25 ans, ce studio inspirant accueille des artistes de partout qui viennent y peaufiner leur art et le partager ensuite à la communauté."},"locales":["fr"],"metadata":{},"modificationDate":"2022-04-20T20:09:45.885Z","publications":[{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"latribune","sectionKey":"la-vitrine/region-coaticook-2022"},{"canonical":true,"organizationKey":"latribune","sectionKey":"la-vitrine"}],"slug":{"fr":"2022/04/20/programme-artiste-en-residence-a-coaticook--25-ans-a-faire-rayonner-les-arts-et-la-creativite-db489459c27aa51bb3ab8472d48f9cad"},"tags":[],"templateName":"sponsored3","title":{"fr":"Programme Artiste en résidence à Coaticook : 25 ans à faire rayonner les arts et la créativité"},"type":"article","url":"global/contents/db489459c27aa51bb3ab8472d48f9cad.json","visual":{"caption":{},"contentType":"image","credits":{},"position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fb4c2cdfd-3685-4487-8505-8450c61ba239.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"}},{"accessibility":"FREE","authors":[{"description":{},"name":"La Vitrine","source":"Contenu commandité"}],"channel":{"fr":"RÉGION COATICOOK 2022"},"chapters":[{"position":0,"text":{"fr":"

Pourquoi avez-vous postulé au programme Artistes en résidence à Coaticook?

Ça fait longtemps que j’y pensais, mais il faut avoir la possibilité de pouvoir se libérer quelques mois. Quand l’occasion s’est présentée, j’ai postulé. C’est la formule idéale pour se renouveler et améliorer sa pratique.

Qu’est-ce que cette expérience vous apporte?

Le fait d’être déracinée et de ne plus avoir ses repères habituels permet de me dédier totalement à mon art. Je n’ai aucune distraction, je baigne complètement dans ma pratique, avec du temps pour expérimenter, me questionner, me renouveler. Mon travail ne se résume pas à mes œuvres, il y a derrière chaque tableau de la recherche, des inspirations, des apprentissages. Je crois beaucoup au savoir, aux techniques solides. J’ai obtenu une bourse pour apprendre de nouvelles techniques à l’huile, et cette résidence est l’occasion de mettre en pratique ce que j’y ai appris.

Parlez-moi de vos coups de cœur à Coaticook?

Mes coups de cœur, ce sont les gens. C’est impressionnant à quel point l’esprit communautaire est fort ici, il y a beaucoup d’entraide, de bénévolat, de bienveillance. J’ai aussi ressenti une grande ouverture. Plus particulièrement, j’ai eu des coups de cœur pour Shirley Lavertu, responsable du programme, sur qui je peux toujours compter; Michel Dubé, journalier/menuisier à la Ville, qui voit à ce que les installations soient toujours impeccables; Benoit Bouthillette, directeur général de la bibliothèque, un gars dynamique et un bon facilitateur pour les projets que je veux mettre de l’avant, sans oublier sa superbe équipe. Vraiment, tous les employés de la bibliothèque sont gentils, attentifs et disponibles pour aider! Pour les activités de médiation culturelle, j’ai des partenaires en or : Sylvie Lebel et Marion Marcoux de Coatic’Art, Patricia Patino du Café des aînés, Marc-Étienne Messier du Centre d’action bénévole… Toutes de belles rencontres.

Selon votre expérience, qu’est-ce que les artistes qui sont en résidence apportent à Coaticook et à ses citoyens?

D’abord, j’invite les gens à venir au studio : ils vont comprendre pourquoi les artistes s’y sentent si bien! C’est l’occasion pour eux de comprendre ma démarche artistique : c’est comme un minilaboratoire avec mes outils, mes inspirations, etc. L’autre volet très important pour moi, ce sont les activités de médiation culturelle. Je peux redonner à la communauté et participer à la démocratisation de l’art. Ses bienfaits sont si nombreux! Quand on crée – que l’on dessine, écrit, peint, etc. – on est ancré dans le moment présent. On oublie nos petits tracas tant on se concentre sur la tâche. Et on est fier du résultat, c’est bon pour l’estime de soi! Les ateliers ou cours que j’organise avec des partenaires permettent à des gens de sortir de leur isolement, d’échanger et de partager avec d’autres une passion commune. Ils ont aussi l’occasion d’actualiser leur potentiel : il n’est jamais trop tard pour apprendre! Tout cela dans le plaisir, sans pression de performance, et sans débourser un sou. Ces activités se veulent ouvertes et accessibles à tous.

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"},"type":"paragraph"}],"creationDate":"2022-04-20T15:08:54.938Z","externalIds":{},"firstPublicationDate":"2022-04-20T17:58:49.387Z","free":false,"id":"3a9648b0e32f49e9bbbeb13a2ab848a3","lead":{"fr":"Après une première expérience fort enrichissante sur le plan créatif en 2020 à Coaticook, l’artiste de Saint-Antoine-sur-Richelieu faisait une deuxième demande de résidence, afin de vivre le 2e volet de l’expérience : l’immersion dans la communauté. En effet, en pleine pandémie, il fut impossible d’organiser des activités, mais ce ne fut que partie remise puisque ces dernières semaines plusieurs événements ont eu lieu. Elle répond à nos questions."},"locales":["fr"],"metadata":{},"modificationDate":"2022-04-20T20:11:26.297Z","publications":[{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"latribune","sectionKey":"la-vitrine/region-coaticook-2022"},{"canonical":true,"organizationKey":"latribune","sectionKey":"la-vitrine"}],"slug":{"fr":"2022/04/20/de-belles-rencontres-pour-isabelle-grondin-artiste-en-residence-a-coaticook-en-2022-3a9648b0e32f49e9bbbeb13a2ab848a3"},"tags":[],"templateName":"sponsored3","title":{"fr":"De belles rencontres pour Isabelle Grondin, artiste en résidence à Coaticook en 2022"},"type":"article","url":"global/contents/3a9648b0e32f49e9bbbeb13a2ab848a3.json","visual":{"caption":{},"contentType":"image","credits":{},"position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F431cc7a1-5aaa-4438-8ae0-45e50390fb8f.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"}},{"accessibility":"FREE","authors":[{"description":{},"name":"La Vitrine","source":"Contenu commandité"}],"channel":{"fr":"RÉGION COATICOOK 2022"},"chapters":[{"position":0,"text":{"fr":"

Désigné par 22 municipalités des MRC de Coaticook et de Memphrémagog pour assurer la collecte des gros encombrants, l’organisme à but non lucratif réussit à valoriser plus de 90 % de ce qu’elle récolte. Mais pas à coup de baguette magique. Les petites fées, ce sont ses employés qui trient, réparent, nettoient ou démantèlent des objets pour en extraire les différents matériaux. Les plus beaux se retrouvent aux boutiques de Coaticook et de Magog, alors que les matières comme le bois, le métal, le plastique ou le rembourrage se retrouvent chez des recycleurs.

Les collectes se font sur rendez-vous uniquement, tant à votre domicile qu’au dépôt de Coaticook, à condition d’être un citoyen des municipalités partenaires pour avoir droit au service.

Le plus grand inventaire en région d’articles d’occasion

Les boutiques, elles, sont ouvertes à tous. De véritables cavernes d’Ali Baba, elles vous proposent le plus important inventaire d’articles usagés en région, et il y en a vraiment pour tous les goûts, de la vaisselle aux articles sportifs, des objets de collection aux meubles antiques. L’inflation fait mal à votre portefeuille? En plus d’y faire des économies, vous y ferez de belles découvertes. « Le chiffre d’affaires de nos boutiques augmente d’année en année. La clientèle est très diversifiée. C’est une belle manière de consommer de façon responsable, en donnant une deuxième vie à des objets », rappelle Mme Claire Audet, directrice générale de la Ressourcerie des frontières.

10 ans à s’enraciner

La Ressourcerie des frontières a été créée en 2012. Au fil des ans, l’organisme a développé de solides racines qui lui ont permis de faire face aux tempêtes et de relever les défis un à un. Fidèle à sa mission environnementale, la Ressourcerie des frontières a aussi tissé des liens avec les organismes de la région. Elle collabore et aide notamment le Carrefour Jeunesse Emploi, le Centre d’action bénévole, le CSSS, des écoles, etc.

Cet ancrage, elle souhaitait le mettre en lumière pour ses 10 ans. Sous le thème « 10 ans à s’enraciner », la Ressourcerie des frontières démontrera au cours des prochains mois à quel point elle est enracinée dans sa mission, dans sa communauté. Le coup d’envoi de sa programmation spéciale a eu lieu le 22 avril, Jour de la Terre. Parmi les activités à venir, on note un grand nettoyage de la piste cyclable de Coaticook et des parcs environnants. « Nous voulons aussi ajouter à ce que nous faisons un volet plus créatif, avec des activités artistiques, initiées par nous ou en collaboration avec des partenaires. L’art est une belle façon de redonner vie à des objets. » Pensons à des meubles qui pourraient prendre une toute nouvelle allure sous des doigts habiles… « On veut continuellement s’améliorer, et maintenant que nos bases sont solides, on souhaite diversifier nos actions, toujours dans le sens de notre mission. » Surveillez la page Facebook de l’organisme pour connaître les activités à venir en 2022.

Des gens de passion

Cet anniversaire sera aussi l’occasion de lever le voile sur ses opérations. « Les gens n’ont pas idée de tout le travail qui se fait à l’arrière-scène. Nous réaliserons ainsi dans les prochains mois des capsules d’information qui seront aussi des coups de chapeau à nos employés, des gens passionnés qui s’intéressent à toutes sortes de choses : ici, chaque jour amène ses nouveaux trésors! » Si le travail est diversifié, il est aussi stimulant : « On favorise la créativité et le développement des connaissances. C’est un peu comme un casse-tête : en plaçant la personne au bon poste, on crée cet espace où elle pourra évoluer et s’épanouir. » Plusieurs personnes, éloignées du marché de l’emploi, ont d’ailleurs profité de leur passage au sein de l’organisme pour reprendre confiance en eux. « Les gens se sentent bien ici. On sert de tremplin professionnel pour plusieurs », d’ajouter Mme Audet.

Rappelons que les boutiques sont situées au 177, rue Cutting à Coaticook et au 1700, rue Sherbrooke à Magog et sont ouvertes du lundi au mercredi de 9 h 30 à 17 h 30, les jeudis et vendredis de 9 h 30 à 19 h ainsi que le samedi de 9 h à 17 h.

Consultez le cahier spécial dans son intégralité en cliquant ici.

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« Maintenant que nous avons toutes les ressources nécessaires, nous souhaitons être beaucoup plus présents sur le terrain afin de bien saisir la réalité de nos entreprises et ainsi mieux les aider. Plus on sera bien informé de leurs réalités, de leurs enjeux, plus on pourra être proactif, plutôt que d’être en réaction à leurs défis et enjeux. On a l’expertise pour les accompagner à chacune des étapes de leur développement, quel que soit leur secteur d’activité », explique Nathalie Labrie, directrice du développement économique à la MRC de Coaticook.

La MRC de Coaticook connaît actuellement une belle effervescence économique. « Plusieurs nouvelles entreprises ont été créées dans les derniers mois, dans des domaines très variés, avec des projets qui sortent de l’ordinaire. Ce sont pour la plupart des gens qui ont choisi notre région pour faire naître leur projet. »

Depuis le début de la pandémie, plusieurs entrepreneurs ont par ailleurs fait appel à l’équipe de développement économique de la MRC pour la première fois, à travers le fonds d’urgence. « On souhaite continuer à travailler avec cette nouvelle clientèle pour l’aider à consolider son modèle d’affaires et à poursuivre sa croissance. »

L’équipe est aussi à élaborer une programmation pour la communauté d’affaires. « La pandémie a isolé les entrepreneurs, et on sent à quel point ils ont besoin de sortir, de socialiser et d’apprendre. En mars, on a tenu une conférence qui a obtenu un énorme succès avec 150 participants! D’autres activités du genre sont donc prévues. »

En plus d’être là pour les entrepreneurs actuels, la MRC souhaite stimuler davantage l’entrepreneuriat à travers son territoire. « On encourage beaucoup les jeunes à poursuivre leurs études, et c’est bien, mais on leur parle peu de l’option de se lancer en affaires. Il y a de beaux parcours académiques qui permettent de développer des compétences de gestionnaires et plus nous développerons la fibre entrepreneuriale chez nos jeunes, plus nous aurons une relève pour nos entreprises », souligne Simon Madore, élu responsable des dossiers de développement économique à la MRC et maire de la Ville de Coaticook.

Enfin, Mme Labrie et son équipe souhaitent se rapprocher de ses partenaires. « Avec la pandémie et le télétravail, on a un peu perdu nos liens avec les institutions et organismes qui aident et financent les entreprises. Dans un esprit d’être un guichet unique pour tous nos entrepreneurs et de les diriger vers les bonnes ressources, on veut recréer ces liens afin de bien connaître les différentes offres d’aide financière, tant régionales que provinciales et fédérales. »

Consultez le cahier spécial dans son intégralité en cliquant ici.

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En 2020, 12 municipalités du territoire de Coaticook mandataient leur MRC pour organiser ce service : le camp régional Kionata était né. Dès le premier été, la réponse fut excellente avec 330 inscriptions. L’an dernier, ils étaient 522 jeunes à participer, une augmentation de 58 %.

« Nous sommes fiers de cette offre régionale innovante qui a été conçue pour répondre aux besoins des parents tout en faisant plaisir aux enfants. Participer à un tel camp permet aux enfants d’apprendre de nouvelles choses par le biais du jeu et du plaisir! L’équipe de la MRC et les animateurs travaillent fort pour offrir un été exceptionnel à nos jeunes du territoire », mentionne monsieur Steve Lanciaux, élu responsable des dossiers loisirs à la MRC de Coaticook et maire de Saint-Herménégilde.

« Nous avons cinq points de service dans le territoire, et chaque enfant peut s’inscrire où il veut. Pour favoriser l’accès à tous, du transport est organisé dans les municipalités entre les points de service dans le but de desservir les villes et villages où il n’y en a pas. Les inscriptions se font à la semaine, c’est donc très flexible comme formule », explique pour sa part Marie-Claude Roulez, agente de développement en loisir à la MRC de Coaticook.

Il était aussi très important que l’expérience soit identique d’un site à l’autre. « Tous les animateurs suivent la même formation et travaillent avec les mêmes outils, le même cahier d’activités. Ainsi, la magie opère, quel que soit l’endroit. Et chaque semaine apporte une nouvelle mission, de nouveaux défis : que l’enfant vienne une semaine, quatre ou tout l’été, il aura toujours du plaisir. »

Pour offrir une programmation qui plaît à un maximum d’enfants, on propose aussi des camps spécialisés : tous les jours, pendant deux heures, un spécialiste se déplace pour animer les participants avec des activités dans une discipline de loisir spécifique : sportive, scénique, culturelle ou découverte. Le reste de la journée est consacré aux activités habituelles des camps d’été (comme la piscine). Le cirque, la cuisine, les arts plastiques, les animaux et les sports sont parmi les thèmes les plus appréciés. « Nous avons aussi fait des sondages auprès des parents, et nous avons retenu quelques-unes de leurs idées pour 2022 comme le camp chasse et pêche et le camp 9-1-1 ». Des camps spécialisés ont également été développés pour répondre plus spécifiquement aux besoins des petits de 5-7 ans. « Comme on dessert l’ensemble de la MRC, on compte sur un bassin plus important d’enfants, ce qui nous permet d’offrir une telle diversité, ce qu’on voit rarement en milieu rural. »

Un gros travail d’équipe

Pour développer la thématique annuelle, les coordonnateurs de chacun des points de service et les chefs d’équipe se sont rencontrés et ont mis leurs idées ensemble. Puis, en sous-comité, ils ont créé les cahiers d’animation hebdomadaires. « Toujours en lien avec le thème général, il y a des activités quotidiennes, puis une activité spéciale le vendredi qui termine la mission de la semaine », précise Mme Roulez.

Cet été, les enfants seront plongés dans le monde des personnages de conte à travers la thématique Les aventuriers du camp, Kionata à la rescousse! « Chaque semaine, il y aura un Vilain à capturer, à découvrir, à débusquer, à apprivoiser ou à chasser, avec chaque fois une nouvelle mission, pour autant d’univers à découvrir. »

Pour réussir à créer cet environnement féérique, le camp Kionata compte sur des animateurs créatifs, passionnés et engagés. « Plus ils embarquent dans leur personnage, plus les enfants sont immergés dans cet univers magique », rappelle Marie-Claude Roulez. Les animateurs sont pour la plupart des jeunes de la région. Et eux aussi apprécient beaucoup le camp, car la majorité en sera à leur 2^e ou 3^e été au camp Kionata. « On n’a peu de défis de recrutement. Il faut dire qu’on a mis beaucoup d’effort pour créer un environnement de travail agréable, avec plusieurs mesures de reconnaissance et des activités pour favoriser l’esprit d’équipe et le sentiment d’appartenance. On implique aussi beaucoup nos coordonnateurs et chefs d’équipe dans les décisions. Cette culture de bonheur au travail est importante pour nous. Ces jeunes jouent un rôle important auprès des enfants, c’est quand même toute une responsabilité qu’ils ont, d’où l’importance de bien les épauler et les encourager. »

Notez que les inscriptions pour l’été 2022 se terminent le 2 mai. Tous les détails sur le site web.

Consultez le cahier spécial dans son intégralité en cliquant ici.

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Plonger dans le passé et l’art

La région possède une riche histoire que l’on peut découvrir en visitant le Musée Beaulne de Coaticook ou en effectuant l’un des circuits patrimoniaux proposés par la Ville de Coaticook. De la visite des cimetières au circuit sur l’histoire industrielle en passant par la promenade architecturale, vous apprendrez tout sur les pionniers de cette région fière et authentique. Du côté artistique, le célèbre sentier poétique à Saint-Venant-de-Paquette vaut amplement le détour sans oublier l’évènement Céramystic de Barnston-Ouest qui a lieu du 1^er au 10 juillet (voir le texte de la page 12).

Des sorties en famille

Les familles ont un choix incroyable d’attraits à faire beau temps, mauvais temps. Il ne faut surtout pas manquer le parcours nocturne illuminé de Foresta Lumina, le Parc de la Gorge de Coaticook et son pont suspendu, l’Épopée de Capelton et sa visite de la mine, le GloGolf aménagé dans une ancienne église et la pisciculture du Parc Découverte Nature, des activités aussi amusantes les unes que les autres. N’oublions pas le dernier venu, l’aventure interactive Acoatico : un immense jeu vidéo dans l’univers des poissons! Plaisir et sourires assurés pour tous!

Pour se délecter

Entre monts et vallées, vous pourrez rencontrer des gens passionnés et vous délecter de leurs délicieux produits. De savoureux fromages, de la délectable truite fumée, des pommes croquantes et de la crème glacée onctueuse sont quelques-uns des produits que vous pourrez déguster. De quoi satisfaire tous les épicuriens! Il ne vous reste plus qu’à visiter le site de Tourisme Coaticook pour connaître toutes les bonnes adresses avant d’entamer votre tournée gourmande.

Activités sportives pour tous

La Vallée de la Coaticook se démarque aussi pour son vaste terrain de jeu. De la randonnée, du vélo et même du kayak, les sportifs seront comblés par toutes les possibilités offertes. Le Parc de la Gorge de Coaticook et le Mont Pinacle font le bonheur des adeptes de la marche avec des sentiers bien aménagés sans oublier des vues à couper le souffle. Pour les golfeurs, deux beaux terrains les attendent soit le club de golf de Coaticook et celui de Waterville. De leur côté, les amateurs de vélo de montagne aimeront pédaler sur les Circuits Frontières qui proposent 50 km de sentiers de terre battue ou dans les sentiers balisés du Parc de la Gorge. Pour ceux qui préfèrent le vélo de route, vous pourrez emprunter le circuit vélo-piétonnier Rivière aux pins avec ses 18 km de sentiers pour explorer Coaticook et le Parc de la Gorge. Finalement, l’Aquaticook offre la possibilité de découvrir les beaux paysages de la rivière Coaticook en kayak à partir de quatre sites de mise à l’eau sur le territoire. Il suffit de télécharger la carte du circuit disponible sur le site de Tourisme Coaticook.

Vraiment, la Vallée de la Coaticook promet des heures de plaisir et des souvenirs mémorables à tous les visiteurs. Il y a tant à faire et tant à voir, vous serez enchanté!

Consultez le cahier spécial dans son intégralité en cliquant ici.

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Des formulaires sont disponibles au bureau de votre municipalité et dans certains organismes. Vous pouvez aussi remplir le sondage en ligne en accédant au lien en cliquant ici.

L’élu responsable des dossiers transport à la MRC et maire de la municipalité de Martinville M. Michel-Henri Goyette mentionne que « dans un contexte où la mobilité durable prend un sens économique tout autant qu’environnemental, nous souhaitons recueillir le plus grand nombre de réponses à notre enquête. L’objectif derrière ce sondage est de déterminer des solutions répondant aux réels besoins de la population. »

À partir de vos réponses, on pourra mieux qualifier et quantifier vos besoins. « Ce sondage est un outil important pour ajuster notre offre de transport collectif. Par exemple, est-ce que le taxi-bus serait une solution? Les réponses des citoyens nous permettront de savoir si c’est bel et bien une avenue intéressante pour plusieurs », explique Dominick Faucher, directeur général de la MRC de Coaticook.

Actuellement, on retrouve sur le territoire du transport adapté, un circuit interurbain (Coaticook, Waterville et Sherbrooke) et un circuit urbain à Coaticook. « On sait qu’il y a un intérêt pour les citoyens des municipalités plus éloignées pour le transport en commun, mais qu’en est-il vraiment? Nous sonderons aussi les jeunes du secondaire pour connaître leurs besoins plus particuliers. »

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