Le gouvernement québécois et la santé publique ont répété que la pandémie a obligé de construire l’avion en plein vol. Les circonstances n’étaient évidemment pas idéales ni faciles. Néanmoins, ce serait une erreur de s’arrêter là et de ne pas jeter un regard sur les décisions prises pendant la crise sanitaire et d’en tirer des leçons. Parce qu’il y a en a eu des erreurs, même si le premier ministre François Legault s’est donné une note parfaite.

Le français, comme langue, est un sujet qui fait réagir. D’un côté, certaines personnes n’hésitent pas à violemment souligner la moindre faute de français ou à lever les boucliers devant les propositions de changements, de l’autre côté, des personnes essaient de maitriser ses codes qui n’ont pas toujours du sens ou de le faire évoluer, parce que notre monde change.

Personne ne voulait croire que la Russie allait vraiment attaquer l’Ukraine. Depuis plus d’un mois, la population ukrainienne subit les assauts de l’armée russe. Cette guerre est-elle un échec des relations internationales? Mais au-delà de la géopolitique, des populations déchirées, trahies et victimes d'une violence injuste.

En 2019, l’environnement s’imposait comme un enjeu majeur et incontournable. Puis la pandémie a frappé. Maintenant qu’on semble apprendre à vivre avec la COVID-19, l’environnement peut-il retrouver son élan? La crise climatique redeviendra-t-elle l’enjeu majeur?