Pierre Dubois, copropriétaire de l’Érablière du Sault-à-la-Puce, à Château-Richer (Yan Doublet/Le Soleil)
Des journées trop chaudes, des nuits où la température n’était pas sous le point de congélation et trop de neige. Plusieurs raisons expliqueraient pourquoi la saison des sucres de cette année ne surpassera pas celle de 2022, qui a été une «année exceptionnelle en qualité et en quantité». Mais est-ce une catastrophe pour les acériculteurs?