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Entre tradition et modernité, les Peuls du Bénin à la croisée des chemins

Par Jasmine Rondeau, La Tribune et Maxime Picard, La Tribune
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Les Peuls vivent en transhumance, c'est-à-dire que les hommes suivent la migration périodique du bétail et quitte leur campement pendant des mois afin d'offrir eau et nourriture à leurs bêtes, en saison sèche. Pendant ce temps, femmes et enfants tiennent le fort.

Les Peuls vivent en transhumance, c'est-à-dire que les hommes suivent la migration périodique du bétail et quitte leur campement pendant des mois afin d'offrir eau et nourriture à leurs bêtes, en saison sèche. Pendant ce temps, femmes et enfants tiennent le fort. (Maxime Picard/La Tribune)

LES COOPS AU BÉNIN / Un peu partout dans la campagne béninoise et ouest-africaine, des populations peules vivent au gré de l’élevage bovin, là où faire se peut. Pendant que ces peuples isolés tentent de préserver leur identité, leur mode de vie nomade se bute d’un côté aux mœurs d’une société en quête de modernité, et de l’autre à une escalade de violence. En compagnie d’un groupe d’agriculteurs de la relève québécoise, La Tribune a eu le privilège de se plonger dans la réalité de la communauté peule de Foki, à Djidja.

Découvrez le fruit de cette rencontre inespérée.

Entre tradition et modernité, les Peuls du Bénin à la croisée des chemins
Un reportage à l'étranger des Coops de l'information
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