Jocelyn Laberge, 67 ans, 68 dans une semaine, n’a presque jamais manqué une journée de travail. (Patrice Laroche/Le Soleil)
CHRONIQUE / C’était le 30 mars 1973, le jeune Jocelyn Laberge se promenait tranquillement dans le Vieux-Québec, rue Saint-Louis. «Il y avait des camarades qui prenaient une pause, ils m’ont demandé : « hey, toi, est-ce que ça te tente de travailler? » J’ai répondu : « oui »… Ils m’ont dit : « reviens à 21h ».»