La Tribune
Les émotions sont encore à fleur de peau chez Amélie Mafogué-Tadié, qui était à deux doigts de se faire expulser du pays, il y a deux mois. On a voit ici en compagnie de sa superviseure, Géraldine-Catherine Plante-Desbiens, et du député fédéral de Trois-Rivières, René Villemure.
Les émotions sont encore à fleur de peau chez Amélie Mafogué-Tadié, qui était à deux doigts de se faire expulser du pays, il y a deux mois. On a voit ici en compagnie de sa superviseure, Géraldine-Catherine Plante-Desbiens, et du député fédéral de Trois-Rivières, René Villemure.

Préposée menacée de déportation: «Je n’ai plus de pression»

Matthieu Max-Gessler
Matthieu Max-Gessler
Initiative de journalisme local - Le Nouvelliste
L’épée de Damoclès suspendue au-dessus de la tête d’Amélie Mafogué-Tadié, préposée aux bénéficiaires à la Résidence Laliberté, à Trois-Rivières, n’est plus là. Alors qu’il y a à peine deux mois, elle a évité de justesse son expulsion du pays, l’employée camerounaise tant aimée de ses collègues et des résidents a fait de nouvelles démarches pour pouvoir rester au pays pour de bon.