«Les médecins dans les hôpitaux se ramassent à faire tous les cas complexes, qui sont les plus urgents», indique le radiologiste avec 25 années d’expérience. (Jessica Garneau/Archives La Tribune)
Sur le terrain, on les appelle «les radiologistes de salon». Pour l’Association des radiologistes du Québec, ils font plutôt partie de l’équipe de «dépannage» ou de ces médecins «qui réorientent leur carrière pour passer de l’hôpital aux cliniques». Peu importe comment on les appelle: ils sont trop nombreux à avoir déserté les hôpitaux, ce qui inquiète le milieu médical.