Adopté à quelques mois par la sœur de Diane, cet enfant a retrouvé ses racines à 40 ans. (Fournie par Diane)
CHRONIQUE / «Quand la fille venait d’accoucher, ils lui montraient son bébé quelques secondes, ils disaient que c’était pour ne pas qu’elle s’attache. Le bébé pleurait, elle demandait : « Est-ce que je peux le prendre? », ils répondaient : « non, c’est mieux pour vous ». Et ils partaient avec le bébé.» On est au Québec, en pleine Révolution tranquille.