Chronique|

Deux lits en moins, «c’est 45 mourants dans la misère»

Jusqu’en décembre 2021, jusqu’à quatre personnes en fin de vie pouvaient écouler leurs derniers jours dans une chaleureuse unité de soins palliatifs financée par la Fondation de l’hôpital de Sainte-Anne-de-Beaupré.

CHRONIQUE / On a beau tourner ça dans tous les sens, mais avec deux lits de soins palliatifs au lieu de quatre à l’hôpital de Sainte-Anne-de-Beaupré, c’est un paquet de monde qui doit aller mourir ailleurs, trop souvent pas où ils veulent, ni comment ils veulent.