Cocorico: dialogue pour redéfinir le masculin

Mickaël Bergeron signe un nouvel essai, <em>Cocorico — Les gars, faut qu’on se parle</em>, dans lequel il explore la masculinité, les inégalités de genre, les comportements problématiques et parfois toxiques des hommes.

CHRONIQUE / «Les gars, on peut faire mieux». C’est la phrase avec laquelle mon collègue Mickaël Bergeron boucle son nouvel essai, Cocorico — Les gars, faut qu’on se parle. C’est aussi celle qui agit comme fil conducteur de sa plaquette de 200 pages qui, avant même son lancement officiel, le 31 janvier, attire déjà l’attention des médias. Et pas qu’un peu.