Patrick Nicol (Archives La Presse, Hugo-Sébastien Aubert/Archives La Presse, Hugo-Sébastien Aubert)
« Quand j’écris, c’est rarement avec une échéance qui m’oblige à être productif. Lorsque ça n’avance plus, je peux donc me permettre de me lever et d’aller prendre l’air. Bref, je ne vis pas ça comme du stress », résume Patrick Nicol, qui a déjà suffisamment de romans dans sa bibliographie pour savoir qu’il ne lui sert à rien de se démener.