Il a donc augmenté de 0,2 % depuis juin pour atteindre son plus haut sommet depuis janvier.
Au niveau de l’emploi, la région a enregistré un gain de 800 emplois dans le dernier mois. On note toutefois une perte nette de 2700 emplois depuis le début de l’année.
À titre comparatif, seules les régions de la Capitale-Nationale (3,2 %), Chaudières-Appalaches (1,7 %) et du Centre du Québec (2,8 %) affichent un taux de chômage plus bas que celui de l’Estrie.
Au Québec, le taux de chômage du mois dernier a été mesuré à 4,1 % selon la mise à jour de Statistiques Canada. Après avoir reculé pendant deux des trois mois précédents, l’emploi est demeuré stable au Québec en juillet. Dans la région de Montréal, l’emploi a peu varié et le taux de chômage s’est maintenu à 4,7 %.
Le taux de chômage est resté à 4,9 % en juillet au Canada, ce qui correspond au creux historique enregistré en juin.
À l’échelle du Canada, chez les personnes âgées de 25 à 54 ans, le taux de chômage s’est établi à 4 % le mois dernier et il a peu varié par rapport à juin tant chez les hommes que chez les femmes du principal groupe d’âge actif. Le taux a aussi peu varié chez les personnes âgées de 55 ans et plus de même que chez les jeunes âgés de 15 à 24 ans.
Selon l’agence fédérale, l’emploi a peu varié en juillet par rapport au mois précédent, ne reculant que de 31 000, mais comparativement à mai, il a fléchi de 74 000, ou de 0,4 %.
Le taux de chômage du mois de juillet a augmenté dans deux des trois provinces des Maritimes par rapport à juin. Il est passé de 6,1 % à 7,1 % au Nouveau-Brunswick et de 4,9 % à 5,7 % à l’Île-du-Prince-Édouard.
En Nouvelle-Écosse, le taux a reculé de 7 % à 5,9 %.