
Selon des travaux de biologistes indépendants, la densité de la population de la moule zébrée pouvant s’établir dans le lac à partir de 2024 (soit sept ans après sa détection) est faible en raison des conditions physicochimiques qui ne sont pas favorables à «une forte propagation». La probabilité que des impacts économiques surviennent est faible, avance donc le Ministère.