« En ce moment, les écarts de taux entre le fixe et le variable sont très grands, explique-t-il. On parle presque de 2 % d’écart alors même si le taux variable augmentait de 1 % ou 1,25 %, ce à quoi le marché s’attend d’ici la fin de l’année, le client aura quand même un taux plus bas que s’il avait signé un taux fixe. Historiquement, les gens qui ont pris un taux variable ont toujours été gagnants. »
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