La Tribune
Le photographe du <em>Droit</em> Simon Séguin-Bertrand discute avec Nick, dans un centre pour personnes réfugiés à Bucarest, en Roumanie.
Le photographe du <em>Droit</em> Simon Séguin-Bertrand discute avec Nick, dans un centre pour personnes réfugiés à Bucarest, en Roumanie.

Témoin de détresse et de résilience aux frontières de la guerre 

Gaëlle Kanyeba
Gaëlle Kanyeba
Le Droit
Lorsque Simon Séguin-Bertrand, photographe de presse au Droit, armé de son appareil photo s’est envolé vers les camps de réfugiés ukrainiens en Pologne et en Roumanie, dans le cadre d’une mission pour la Coopérative nationale de l’information indépendante (CN2i), il n’avait aucune idée de ce qui l'attendait. D’ailleurs, il ne préférait pas y penser de peur de fausser son objectivité. À cet instant précis, la seule chose qui lui tenait à cœur, c’était de photographier la réalité des conséquences de la guerre.