
« Le confinement a fait en sorte que les femmes étaient davantage isolées, les risques de violences étaient plus élevés et le non-contact avec le réseau extérieur nous faisait craindre le pire », souligne Andrée Larrivée, co-coordonnatrice au Centre des femmes du Haut-Saint-François La Passerelle.
Les centres de femmes de l’Estrie constatent une hausse des cas de violence depuis le début du déconfinement
Les centres de femmes du Haut-Saint-François, du Val-Saint-François et Des Sources observent une augmentation des demandes d’aide concernant la violence envers les femmes depuis le début de la pandémie.