
Depuis le début de la pandémie, trois hommes sur quatre qui vivent de la détresse psychologique élevée ne consulteraient pas en intervention psychosociale.
Souffrir en silence... ou pas!
Depuis le début de la pandémie, trois hommes sur quatre qui vivent de la détresse psychologique élevée ne consultent pas en intervention psychosociale. C’est comme si 75 % de ce groupe souffrait de faim à côté d’une banque alimentaire ouverte et disponible. La socialisation masculine peut expliquer ce frein à la demande d’aide et c’est pourquoi il est important de souligner la Journée nationale de la santé et bien-être des hommes le 19 novembre et d’engager la conversation au-delà de cet événement.