L’autrice sherbrookoise Véronique Grenier signe un texte dans le recueil collectif Ce qu’un jeune mari devrait savoir. (La Tribune, Michelle Boulay/La Tribune, Michelle Boulay)
Avec un titre comme Ce qu’un jeune mari devrait savoir, on pige tout de suite le deuxième degré. On commence la lecture et on sait qu’on a affaire à un collectif à l’humour décalé et au propos aussi savoureux qu’un peu déjanté.