Les panneaux sont installés sur des suiveurs solaires. Ceux-ci ont un peu le même comportement qu’une fleur de tournesol : l’idée est de demeurer dans l’axe du soleil pour capter un maximum d’énergie, image Vincent Aimez, professeur en génie électrique et génie informatique, et vice-recteur à la valorisation et aux partenariats. L’originalité du parc est qu’il est fait pour les partenariats, en permettant aux industries travaillant dans le domaine des énergies renouvelables de tester des technologies.
Lumière sur le parc solaire de l’Université de Sherbrooke.