
Les projets industriels doivent faire l’objet d’études d’impact sur l’environnement avant d’obtenir une autorisation formelle d’aller de l’avant.
L’écoconception, une clé pour l’économie circulaire
CHRONIQUE / Dans le domaine de la santé, on réfère souvent à l’adage «mieux vaut prévenir que guérir». La même approche peut aussi s’appliquer dans le domaine de l’environnement et de la consommation. Il est bien sûr préférable d’éviter la dégradation de l’environnement plutôt que d’essayer de reconstruire des écosystèmes. C’est pour cela qu’on oblige les projets industriels à faire des études d’impact sur l’environnement et qu’on sollicite la participation des citoyens dans des processus d’audiences publiques avant de les autoriser. Mais cette approche préventive est beaucoup plus difficile à appliquer dans le domaine de la consommation de masse.