« Je ne veux pas nommer d’entreprises sans qu’une plainte officielle ait été faite, mais oui, on a des situations semblables dans la région », confirme la coordonnatrice d’Illusion Emploi, Manon Brunelle.
Elle relate, entre autres, un cas de harcèlement auprès d’un travailleur qui avait un contrat dit « fermé », donc qui ne pouvait pas quitter son emploi, sous peine d’être renvoyé dans son pays d’origine. Après avoir porté plainte et navigué un long processus, il a finalement pu changer d’emploi.
[ Les tomates Demers continueront d’être vendues dans les grandes épiceries ]
[ Le bien-être des employés devrait être une condition aux subventions, dit Fitzgibbon ]