J’ai troqué la salle de rédaction et les collègues pour deux fidèles partenaires de travail : ma grande fenêtre et mon gros Gaston. (FRANÇOIS GERVAIS/FRANÇOIS GERVAIS)
CHRONIQUE / J’ai longtemps hésité à savoir où est-ce que j’allais atterrir. J’ai tout essayé. Le comptoir de la cuisine, la table de la salle à manger, le petit bureau au sous-sol, même le divan vers la fin de l’après-midi, lorsque je tombe en mode strictement rédactionnel. Mais j’ai vite compris que si c’était pour être ça pour le reste de ma vie, je voulais de la lumière.