Chronique|

Des règles à revoir

Cette histoire a incité l’administration municipale à lancer une enquête, tandis que le Service de police de Sherbrooke, qui ignorait la situation, s’est dit préoccupé et a demandé des explications.

ÉDITORIAL / La Ville de Sherbrooke tire sans doute une dure leçon à la suite des révélations de Radio Canada Estrie au sujet de la présence au sein du Comité sur la sécurité publique d’une citoyenne adepte de théories complotistes et opposée aux mesures sanitaires, qui aurait même traité les policiers de « nazis » sur les médias sociaux.