
En Estrie, c’est la majorité des terres vendues en 2019 qui ont été achetées par des entreprises agricoles existantes en désir d’expansion, selon Financement agricole Canada.
Le « plateau de Monopoly » agricole
Sherbrooke — Actuellement, un aspirant producteur de grandes cultures devra en moyenne dépenser l’équivalent de neuf ans de revenus bruts pour payer sa terre avant intérêts. Un ratio qui représente deux ans et demi de revenus de plus que la moyenne des 15 dernières années. Mais encore faut-il qu’on le lui vende, plaide le directeur général de la Fédération de la relève agricole du Québec, Philippe Pagé.