« Certaines des plantes que j’ai plantées sont typiques de la pharmaceutique des Autochtones, tandis que d’autres ont été amenées par les Européens, dit-il. C’est un héritage métissé. On a par exemple l’achillée millefeuilles, qui est indigène des deux continents, ou bien le tabac sacré, qui est propre aux Autochtones et qui est bien différent du tabac canadien. Il avait des usages médicinaux, mais était aussi fumé lors de cérémonies. On a voulu rendre hommage à ça. »
À la suggestion de Lysanne O’Bomsawin, qui était invitée l’an dernier, des tournesols et du tabac canadien ont aussi été plantés dans le jardin autochtone cet été, notamment pour leurs propriétés de pesticides naturels. Cet ajout s’est révélé être un fort succès, selon M. Landry.
:quality(95)/cloudfront-us-east-1.images.arcpublishing.com/lescoopsdelinformation/4FSIJRXSBRFWTB46FYERGPU6BM.jpg)