
Quand une personne souffre d’une dépression, d’un trouble de la personnalité limite ou d’un trouble anxieux généralisé, elle est souvent beaucoup plus réticente à en parler.
Nouveau regard sur les troubles de santé mentale
Les Québécois parlent plus volontiers de leurs problèmes de santé mentale qu’il y a 20 ans. Mais il reste encore de nombreuses réserves. Les gens sont peu nombreux à se cacher lorsqu’ils combattent un cancer. Peu de personnes sont gênées de parler de leur diabète ou de leur arthrose. Mais quand une personne souffre d’une dépression, d’un trouble de la personnalité limite ou d’un trouble anxieux généralisé, elle est souvent beaucoup plus réticente à en parler.