Vêtements: se réendetter pour poursuivre 115 ans de tradition

La présidente de Maison A. Setlakwe, Margo Setlakwe-Blouin.

«Pour avoir les liquidités nous permettant de rester en affaires, nous avons choisi de nous réendetter. Et comme la majorité des détaillants, nous nous sommes demandé s’il n’était pas préférable de se placer sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers pour nous donner le temps de nous réorganiser.»