
Très proche de sa grand-mère Yvette Morin, Megan Morin-Gendron dénonce la sévérité des règles entourant les visites de gens en fin de vie imminente. Des règles « incohérente avec le déconfinement actuel au Québec » qui l’ont empêchée d’être au chevet de sa grand-mère au moment de sa mort.
Cri du cœur pour assouplir les règles touchant les gens en fin de vie
Dans un contexte où les jeunes du primaire vont à l’école, les centres commerciaux sont ouverts, l’ouverture des piscines publiques est planifiée, les marches de milliers de personnes en hommage à George Floyd sont permises, Megan Morin-Gendron dénonce la rigidité des règles entourant les visites des personnes en fin de vie dans les CHSLD. Une rigidité incohérente et incompréhensible, souligne-t-elle.