Chronique|

Un autre «envoye à maison»

Si les mamans de tout-petits sont plus nombreuses à être actives sur le marché du travail au Québec, plus qu’ailleurs au pays ou aux États-Unis, c’est notamment parce que les parents peuvent ici compter sur des services de garde éducatifs régis et subventionnés ou donnant droit à un crédit d’impôt.

CHRONIQUE / Avec la reprise graduelle des activités et le déconfinement, le manque de places en garderie ne doit pas signifier un autre «envoye à maison», destiné cette fois aux travailleuses mères de jeunes enfants.