Le discours sur la souveraineté alimentaire du Québec n’a rien de nouveau pour de la relève agricole, qui s’en fait la défenderesse depuis des années. Mais, pour réussir ce « grand projet de société », il faudra arriver avec un plan fouillé et solide qui permettra à tous les types de producteurs de se frayer un chemin jusque dans les foyers, croit le directeur général de la Fédération de la relève agricole du Québec, Philippe Pagé.