Santiago de Okola, un village sur les rives du lac Titica, nous force à voyager plus lentement, à voir un autre visage de la Bolivie, et à investir directement dans les communautés locales. (LA TRIBUNE, JONATHAN CUSTEAU/LA TRIBUNE, JONATHAN CUSTEAU)
CHRONIQUE / J’ai toujours cru que le voyage s’apprenait sur le tas, à force d’expérience, sans préparation aucune. On saute, on retient son souffle, on se ferme les yeux, et voilà, on apprend à nager. Pas besoin d’école, si ce n’est que l’école de la vie. On se trompe, on fait quelques bourdes en Europe et en Asie, sans personne pour nous dénoncer, et on s’améliore pour la prochaine fois.