Environnement, hygiène et sécurité au travail
« Je travaille sur le comité de santé et sécurité et sur les rapports d’accident. Je rédige des procédures de travail sécuritaires et je donne de la formation aux employés sur les règles de sécurité à suivre. Ce que j’aime de mon travail, c’est son aspect humain et relationnel », raconte Audrey Garcin, chef d’équipe en santé, sécurité et environnement chez Waterville TG.
C’est ce genre de travail que vous permettra d’effectuer cette nouvelle formation intitulée Environnement, hygiène et sécurité au travail. Des cours comme le comportement chimique des contaminants, les matières dangereuses et la gestion environnementale vous permettront aussi de devenir une ressource indispensable au sein de l’équipe en ce qui concerne les actions préventives et les solutions environnementales.
« Je dois aussi assurer le respect de la norme ISO 14 1001, un guide de référence pour les entreprises qui souhaitent implanter une saine gestion environnementale de leurs activités, précise Audrey. Je m’occupe de la gestion des déchets et des matières dangereuses, de développer des mesures de recyclage et de voir à éliminer les odeurs désagréables produites par l’entreprise ou les bruits dérangeants. Mes journées sont toutes différentes et je ne m’ennuie jamais tellement les tâches sont variées. »
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Technologie de maintenance industrielle
Les grandes usines et entreprises comme Domtar, Kruger ou encore BRP sont remplies de machines complexes et imposantes sur lesquelles repose l’ensemble de la production. Pour assurer l’installation, la mise en marche, l’entretien préventif et la réparation de cette machinerie, il faut avoir des connaissances et des compétences bien précises, et une grande ouverture aux imprévus.
« Nos mécaniciens industriels relèvent des défis tout au long de leur carrière, explique Véronique Caron, partenaire d’affaires RH chez Domtar. Nos équipements sont complexes et variés, ce qui amène nos employés à apprendre de nouvelles choses en mécanique chaque jour. »
Mme Caron confirme que ce type de professionnels est fortement en demande dans le secteur industriel de l’Estrie. « Avec la pénurie de main-d’œuvre et les nombreux départs à la retraite, nous avons grandement besoin de ces travailleurs. » Offrant un salaire se situant entre 35 $ et 41 $ de l’heure selon l’expérience, les mécaniciens industriels bénéficient d’un environnement hautement sécuritaire, d’assurances collectives, d’un fonds de pension et d’un vendredi de congé sur deux!
« Nos employés en mécanique industrielle qui détiennent un diplôme collégial peuvent aspirer à de l’avancement vers des postes de supervision du personnel, de planification et de gestion du travail. Une grande place est aussi laissée à leur créativité dans la résolution des problèmes rencontrés. »
Admission et information
Pour obtenir plus d’information sur ces deux programmes, visitez le site Web du Cégep de Sherbrooke ou rencontrez les enseignants et des conseillers lors des Portes ouvertes qui auront lieu le mardi 29 octobre, de 17 h à 20 h, au Centre de l’activité physique (CAP).
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