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Au CCSQ, toute une équipe derrière soi pour atteindre ses objectifs

Marie-Pier Béliveau, diplômée au printemps en comptabilité et secrétariat, était heureuse de retourner au Collège de comptabilité et de secrétariat du Québec, cette fois-ci comme employée!
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En 2016, Marie-Pier Béliveau décidait d’aller au bout de ses rêves pour mener la carrière qu’elle souhaitait. La jeune maman de deux enfants retournait donc sur les bancs d’école pour étudier en secrétariat et en comptabilité.


« J’ai choisi le Collège de comptabilité et de secrétariat du Québec (CCSQ) en raison de sa réputation, et en plus, c’était tout près de chez moi! Avec une petite famille, c’est très facilitant. Il y a d’ailleurs beaucoup d’éléments au CCSQ qui favorisent la conciliation travail-famille », remarque-t-elle. 

En classe, la théorie est toujours suivie d’exercices, afin de mieux assimiler la matière. « On a donc rarement, sinon jamais, de devoirs à faire à la maison, ce qui nous laisse les soirées et les fins de semaine pour passer du bon temps en famille. »

Mais plus que tout, c’est la qualité de l’enseignement qui a fait la différence dans la réussite de Marie-Pier. « Les professeurs sont tout simplement géniaux. Ils connaissent bien leur matière, ils sont passionnés et à notre écoute. Comme les groupes sont petits, ils ont du temps à nous consacrer pour nous aider individuellement au besoin. Ils peuvent ainsi nous réexpliquer une notion, nous donner d’autres exercices, etc. Il y a d’ailleurs des plages horaires réservées à la récupération; durant ces moments, les enseignants sont disponibles pour nous offrir de l’aide personnalisée. Leur appui fait une grande différence. On se sent vraiment bien encadré. »

Marie-Pier a choisi de faire le double Diplôme d’études professionnelles (DEP) en comptabilité et en secrétariat. « J’aime toucher à plusieurs choses, et cette formation m’a bien préparée pour différentes tâches. On nous inculque d’ailleurs beaucoup de notions; par exemple, j’ai appris à construire une base de données, alors qu’habituellement dans ce genre de cours, on va nous apprendre à l’utiliser seulement. Ce sont 17 mois de formation bien optimisés! J’étais vraiment prête pour le marché du travail. »

Marie-Pier s’est d’ailleurs déniché un emploi dès la fin de son stage. Quand un poste au CCSQ s’est ouvert quelques mois plus tard, elle a décidé de postuler; ce fut un beau retour aux sources! « J’appréciais l’école comme étudiante, et je l’aime tout autant comme employée. L’un des aspects que j’adore de mon travail, c’est de pouvoir aider les étudiants : je suis passée par là, et je comprends bien leur réalité. C’est à mon tour de les aider à concrétiser leur projet! » 

DÉVELOPPER SES COMPÉTENCES POUR BIEN RÉPONDRE AUX BESOINS DES ENTREPRISES D'AUJOURD'HUI

Cheick Kader Diakete rêvait d’une carrière en informatique. Il avait d’ailleurs entamé sa formation dans le domaine au Mali, avant d’immigrer au Québec en 2016. « Mon objectif était de poursuivre mes études dans un programme qui m’ouvrirait rapidement plusieurs portes. »

Par un heureux hasard, sa sœur entend parler du programme de soutien informatique offert par le Collège de comptabilité et de secrétariat du Québec (CSSQ) au campus de Sherbrooke. « Cette formation qui mène à un diplôme d’études professionnelles s’échelonne sur 15 mois. En 1800 heures, nous voyons plusieurs modules qui englobent tout ce que nous pourrions faire dans une entreprise. La formation alliant autant la pratique que la théorie, on apprend énormément durant notre passage au Collège », d’ajouter Cheick.

Le professionnel en soutien informatique peut en effet exécuter différentes tâches sur des postes informatiques autonomes ou reliés en réseau, comme installer les éléments physiques et logiques d’un poste informatique, mettre en place les ressources partageables d’un réseau, rétablir le fonctionnement d’un poste informatique, etc. C’est d’ailleurs ce genre de tâches que réalise aujourd’hui Cheick chez BRP.

« J’ai été embauché à la fin de mon stage dans cette entreprise! J’étais bien préparé à répondre aux exigences du marché du travail. Le CCSQ met à notre disposition des équipements à la fine pointe. En plus de la salle de cours, nous avons accès à un laboratoire pour la réalisation de nos travaux pratiques, et tout ce qui touche la réparation d’ordinateur. Chaque module se termine par un travail pratique, ce qui nous permet de mettre en application ce qu’on vient d’apprendre. »

Mais plus que les équipements, c’est la compétence et la disponibilité des enseignants qui font la force du programme, selon lui. « Les enseignants sont de véritables passionnés de leur domaine! Ils nous stimulent à apprendre. Aussi, ils sont vraiment là pour nous aider à réussir. À la fin de chaque cours, une quinzaine de minutes environ sont prévues pour ceux et celles qui ont des questions. Une journée et un soir par semaine, les enseignants se libèrent pour nous aider si on n’a pas bien compris certaines notions. Cela nous permet de ne prendre aucun retard dans nos apprentissages. Je me suis vraiment senti bien entouré », ajoute Cheick qui a tout autant apprécié la dynamique de classe. « Il y avait beaucoup de collaboration et d’entraide. Les premières semaines, comme ça ne faisait pas longtemps que j’étais au Québec, j’avais parfois des difficultés à tout comprendre, mais grâce à l’accueil des gens et à la disponibilité des enseignants, l’intégration s’est faite rapidement! » Cette formation se termine par un stage de dix semaines. « Le diplôme et l’expérience de stage m’ont décidément ouvert les portes d’un emploi au Québec. C’est un programme exigeant, il faut y mettre le temps et les efforts, mais quand on fait ce qu’on aime, on est prêt à s’investir », conclut Cheick Kader Diakete.

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