
J'ai tellement aimé San Francisco que j'ai toisé ses Painted Ladies comme si j'avais grandi au coin de la rue.
Quelque chose de San Francisco
CHRONIQUE / Disons-le d'emblée, le rêve américain, ce n'est pas le mien. La Maison-Blanche, la soi-disant liberté, la richesse, les ambitions incrustées dans les étoiles d'Hollywood Boulevard, très peu pour moi. La beauté qu'on fabrique à coups de silicone et de Botox, le faux qui sonne vrai à force de répéter, le God Bless America qui tire une larme, pas ma tasse de thé.