
La surmédication contribue à détériorer leur état de santé globale.
Une réponse inappropriée
Mis sous médication pour des psychoses à répétition alors qu'il avait une quinzaine d'années, Carl Sansfaçon estime que la réponse biomédicale n'est pas une solution pour les problèmes sociaux que vivent les jeunes. Elle contribue même à détériorer leur état de santé globale.