La démarche, lancée par la Société pour vaincre la pollution (SVP), vise à forcer l'État à revoir le régime de compensation existant en vue d'établir un nouveau fonds d'indemnisation plus favorable aux victimes.
Le coprésident de l'organisation, Daniel Green, estime que le régime chapeauté par la Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) est « injuste « et laisse en plan un nombre beaucoup trop important de personnes rendues malades par le produit réputé cancérigène.
M. Green espère amener le Québec à s'inspirer de la France, où un fonds indemnise chaque année plusieurs milliers de victimes aux profils variés.
Texte complet dans La Tribune de lundi.
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