Depuis le début de l'enquête, les enquêteurs de la CSST qui tentent de faire la lumière sur ce tragique incident ont notamment rencontré plusieurs témoins de l'explosion et ont pu avoir accès aux vidéos de surveillance. Ils ont aussi été assistés par des experts de la Régie du bâtiment ainsi que par des experts en explosion.
S'il a déjà été confirmé que l'incident était d'origine accidentelle, différentes hypothèses ont été soulevées quant à la cause exacte de l'explosion, notamment une fuite de gaz ou encore une forte concentration de vapeur d'essence qui aurait fait exploser l'atelier du laboratoire de recherche.
« Nous n'avons pas encore reçu de rapport de la CSST et l'enquête est toujours en cours. À la suite d'un incident, ils ont six mois pour produire un rapport préliminaire, et un an pour le rapport final. Mais nous pourrons démolir le bâtiment le mois prochain », indique Johanne Denault, chef du service des communications chez BRP.
Texte complet dans La Tribune de samedi.
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