Certaines compressions seront appliquées à partir de propositions des facultés et des unités administratives, qui devaient formuler des recommandations, souligne M. Buteau.
Par exemple, en décembre, la faculté des lettres et sciences humaines (FLSH) disait avoir comprimé un peu moins de 400 000$ dans son plan de réduction des dépenses, alors que les coupes représentent environ 1,1 M$.
Un peu partout dans les facultés, plusieurs mesures ont été suggérées, dont le report de certains achats et l'annulation de certaines activités. Depuis l'annonce des compressions, qui se chiffrent à 124 M$ pour les universités de la province, la direction de l'UdeS affirme qu'il s'agit d'une «mission impossible».
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