À la clé pour les fautifs: des amendes salées et des suspensions de permis.
Jean-Marie De Koninck, grand manitou québécois de la sécurité routière, appuie Québec dans le dossier. Sa table de concertation avait même proposé de fixer la barre à 25 ans il y a quelques années, avant de se raviser et de prôner un régime sec pour «les premières années de conduite».
Selon M. De Koninck, au même taux d'alcoolémie, un jeune conducteur est quatre fois plus à risque d'avoir un accident routier qu'un adulte.
«Les jeunes sont un petit peu plus téméraires quand ils prennent de l'alcool», avance-t-il.
Texte complet dans La Tribune de vendredi.